Dans son répertoire composé de contes populaires et de créations nourries de la terre de ses origines, Florence Férin s'accorde la liberté que propose la matière du conte : pétrir, façonner et cuire à la mémoire de ses sens. Elle n'hésite pas à dépeindre son monde intérieur, drôle, sensible et poétique. Elle sait la fragilité qui invite à la rencontre, cette fêlure qui donne la place à l'humain.